En 2008 et 2009, les études scientifiques récentes sur le bien-être psychique des femmes ayant subi une interruption de grossesse ont été analysées par des équipes d’experts, d’une part mandatées par l’American Psychological Association APA, d’autre part sous l’égide de l’Université Johns Hopkins à Baltimore. Toutes sont arrivées à la conclusion que les études les plus valables qualitativement réfutent la thèse selon laquelle l’avortement provoque des souffrances psychologiques. Au contraire, les femmes qui ont avorté ne se distinguent pas quant à leur bien-être psychologique des femmes qui ont mené à terme une grossesse non planifiée.